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Un élève de l’Italie entre bonnes mains avec sa famille d’accueil au N.-B.
L’accueil d’élèves internationaux : le point de vue des écoles
À Grand-Sault, des élèves prennent en main leur classe
La plupart des élèves du Programme des élèves internationaux n’ont pas été rapatriés dans leur pays d’origine et demeurent encore au Nouveau-Brunswick avec leur famille d’accueil. C’est le cas d’Alessandro Amadeo de l’Italie qui fréquente l’école Clément-Cormier de Bouctouche durant l’année scolaire. Bien qu’il soit difficile pour lui d’entendre les nouvelles de sa famille italienne, il trouve le moyen de profiter de ses journées.
« C’est difficile en ce moment parce que je viens de l’Italie, mais je m’occupe et j’ai beaucoup de choses à faire. C’est au moins ça. J’ai peinturé ma chambre. On a été plus souvent faire des marches dans les bois avec le chien par exemple », explique-t-il.
Alessandro Amadeo poursuit en affirmant qu’il est originaire de la région de la Lombardie en Italie. Une région très touchée par la pandémie.
« Alors que toute l’Italie est en arrêt depuis deux semaines, cela fait trois semaines que la Lombardie est en confinement. Les règles sont plus strictes là-bas qu’ici. Une personne peut sortir de la maison qu’une fois par semaine. Il faut imprimer un papier et la police peut t’arrêter. Ici, tout a fermé, mais c’est moins pire », précise l’élève.
Il est arrivé au Nouveau-Brunswick en septembre dernier et terminait sa 12e année, avant de retourner en Italie pour faire sa 13e année et terminer ses études secondaires.
« À Clément-Cormier, ça se passait bien. Les enseignants étaient très compréhensifs et l’environnement était relaxe. Il n’y avait pas de pression à l’école pour les résultats. J’ai plus de temps ici pour faire autre chose », explique-t-il en ajoutant qu’il remercie tout le monde qui l’a accueilli.
Quant à sa mère d’accueil, Stacey Picard de Cocagne, il s’agit du troisième élève que sa famille accueille. Elle souligne que l’expérience est toujours différente et qu’avec Alessandro, il s’agit d’une année exceptionnelle.
« Ça se passe bien avec Alessandro. Il était très impliqué dans les activités à l’école comme au soccer. Il a commencé à faire du volleyball aussi. Il était très impliqué dans les projets à l’école. Les jeunes ici l’ont bien accueilli. Ils ont été très chaleureux avec lui », souligne-t-elle.
« C’est difficile en ce moment parce que je viens de l’Italie, mais je m’occupe et j’ai beaucoup de choses à faire. C’est au moins ça. J’ai peinturé ma chambre. On a été plus souvent faire des marches dans les bois avec le chien par exemple », explique-t-il.
Alessandro Amadeo poursuit en affirmant qu’il est originaire de la région de la Lombardie en Italie. Une région très touchée par la pandémie.
« Alors que toute l’Italie est en arrêt depuis deux semaines, cela fait trois semaines que la Lombardie est en confinement. Les règles sont plus strictes là-bas qu’ici. Une personne peut sortir de la maison qu’une fois par semaine. Il faut imprimer un papier et la police peut t’arrêter. Ici, tout a fermé, mais c’est moins pire », précise l’élève.
Il est arrivé au Nouveau-Brunswick en septembre dernier et terminait sa 12e année, avant de retourner en Italie pour faire sa 13e année et terminer ses études secondaires.
« À Clément-Cormier, ça se passait bien. Les enseignants étaient très compréhensifs et l’environnement était relaxe. Il n’y avait pas de pression à l’école pour les résultats. J’ai plus de temps ici pour faire autre chose », explique-t-il en ajoutant qu’il remercie tout le monde qui l’a accueilli.
Quant à sa mère d’accueil, Stacey Picard de Cocagne, il s’agit du troisième élève que sa famille accueille. Elle souligne que l’expérience est toujours différente et qu’avec Alessandro, il s’agit d’une année exceptionnelle.
« Ça se passe bien avec Alessandro. Il était très impliqué dans les activités à l’école comme au soccer. Il a commencé à faire du volleyball aussi. Il était très impliqué dans les projets à l’école. Les jeunes ici l’ont bien accueilli. Ils ont été très chaleureux avec lui », souligne-t-elle.